Certains concurrents prenant part à des épreuves de trail se plaignent de ne pas avoir faim dans les heures qui font suite au terme de l’épreuve. Pourtant, ils ont couru pendant de nombreuses heures, et la dépense calorique occasionnée devrait, pense-t-on, justifier qu’ils aient faim. Comment ce paradoxe s’explique-t-il ? LA SENSATION DE FAIM EST UN PHÉNOMÈNE
Une question revient régulièrement lorsqu’on aborde le thème de la préparation au marathon. Aussi bien vos courriers, vos réflexions sur vos épreuves que vos interventions sur les forums montrent à quel point elle vous tarabuste : Faut-il, oui ou non, effectuer des sorties à « allure marathon » ?             QUELQUES RAPPELS : Le marathon se court, lorsque l’athlète l’aborde
Le fonctionnement du corps humain est très complexe. Il est régit par différents systèmes (respiratoire, cardiovasculaire, nerveux, musculaire et mental). Lors de l’effort physique, ces derniers sont davantage sollicités. Mais le corps humain ne se résume pas à ces systèmes. Il a besoin de nutriment essentiel à son fonctionnement : le calcium pour la contraction, les glucides