Certains concurrents prenant part à des épreuves de trail se plaignent de ne pas avoir faim dans les heures qui font suite au terme de l’épreuve. Pourtant, ils ont couru pendant de nombreuses heures, et la dépense calorique occasionnée devrait, pense-t-on, justifier qu’ils aient faim. Comment ce paradoxe s’explique-t-il ? LA SENSATION DE FAIM EST UN PHÉNOMÈNE
Une question revient régulièrement lorsqu’on aborde le thème de la préparation au marathon. Aussi bien vos courriers, vos réflexions sur vos épreuves que vos interventions sur les forums montrent à quel point elle vous tarabuste : Faut-il, oui ou non, effectuer des sorties à « allure marathon » ?             QUELQUES RAPPELS : Le marathon se court, lorsque l’athlète l’aborde
De mon point de vue l’expression « régime du trail » est un oxymore, c’est-à-dire l’association de deux mots antinomiques, comme lorsqu’on parle de « chasseurs écologistes » ou de « dictateur bien libéral ». Explications… QUELQUES PRÉAMBULES : L’obésité constitue aujourd’hui ce qu’on nomme un enjeu de santé publique, car elle concerne de plus