En attendant 2008 et les sacro-saints Jeux Olympiques, Pékin s’était mis à l’heure internationale, le temps d’un marathon. Outre une poignée de Français venus arpenter les hutongs pékinois, dont Sophie Pégand qui termine en 2h56’55, une jeune chinoise Liu Min, remporte l’édition 2001 en 2h23′ 27 » marquant le pas des marathonienens décidées à faire accepter au monde que le marathon n’est pas une épreuve exclusivement masculine. Encore une fois, les femmes apportent la preuve par abnégation, la volonté et ici le sport. En hommage aux femmes afghanes et pour toutes les autres. Et en ces temps de chaos, le sport est et restera toujours le meilleur moyen de fédérer les peuples autour d’un sentiment de vie absolue…
Pour lire l’article: VO2-MDP 2002