Jean Claude Le Cornec, Fondateur de SDPO et Parrain de l’Association Monsieur Nez Rouge sera au côté de Maud Debs dans un tour du monde insolite au profit de la « Fondation Motrice ». L’engagement de Maud qui a pour objectif de faciliter la vie quotidienne des personnes atteintes de paralysie cérébrale a sensibilisé Jean Claude, qui de son côté vous fera vivre ce tour du monde en 20 compétitions et visiter 30 pays.
Tout comme SDPO, Entreprises ou Particuliers, vous pouvez aider Maud dans son challenge.
Son but est de lever le plus de fonds possible sur l’ensemble des courses et de récolter 10 € par kilomètre parcouru. Soit pour World Wild Runneuze : un total de 10 000 € au profit de la Fondation Motrice.
Mais dans son budget total sur deux ans de courses et d’échanges avec les Runneuzes des pays traversés, il lui faudra subvenir aux dépenses quotidiennes (nourriture et hébergement), aux multiples déplacements (aérien principalement), aux inscriptions courses et aux dépenses diverses comme celles de la communication pour nous tenir informé.
Vous pouvez contacter Aude: worldwildrunneuze@gmail.com
ou Jean Claude Le Cornec: sdpo@sdpo.com
Je vais faire le tour du monde en participant à des courses à pied dans les endroits les plus insolites de la terre : un de mes plus grands rêves ! Je vais également aller à la rencontre de femmes runneuzes comme moi afin d’identifier quelles sont les raisons qui poussent les « runneuzes » à pratiquer ce sport. Mon choix s’est porté sur l’étude des « runneuzes » car, sans avoir un discours féministe, les femmes sportives sont très peu médiatisées. Aujourd’hui, 90 % des retranscriptions télévisées sont dédiées au sport masculin. Je veux mettre en avant des femmes sportives qui souhaitent parler d’elles, des Femmes et de leur sport.
Plus concrètement, afin de percevoir et de mieux comprendre les similitudes, différences et nuances entres les différents pays je réaliserai des reportages vidéos. Aux travers de ces interviews, je pourrais avoir une vision claire sur les différents pays afin de réaliser à terme un reportage complet sur la course à pied au féminin.
L’ORIGINE DU PROJET:
Coureuse depuis 2 ans, je me suis prise dans la spirale du running. Tout a commencé avec la volonté de me remettre à faire une activité sportive. Pour m’y motiver, je me suis inscrite à ma première compétition : un semi-marathon. Pour la petite coureuse que j’étais, ce fut un grand défi mais je l’ai fait en 2h30 !
Ayant réussi à parcourir ces 21,1 km, j’eu un fort sentiment d’accomplissement et une immense fierté ; provoquant ainsi le début de mon engouement pour la course. Je me suis mise à courir plus régulièrement et à m’inscrire à de nouvelles autres compétitions comme le marathon de Paris en 2014 ! Après des mois d’entrainement, je l’ai couru en 4h41 ! Durant l’année 2013, j’avais également parcouru de nombreux longs treks et des randonnées qui m’ont permis de réfléchir à ce que je souhaitais réellement accomplir dans ma vie. Est ce que la course à pied m’a permis de débuter cette réflexion interne ? Oui, j’en suis certaine. Mon rapport à la course a d’abord débuté par une quête de bien être physique puis s’est orientée vers une quête de bien être spirituel. Suis je la seule à appréhender la course de cette manière et comment les autres « runneuzes » le font ?
En France, et dans les pays occidentaux, nous avons un rapport au sport qui est axé sur la performance, la volonté de rester jeune, d’être en forme… Une étude menée par Asics, un des plus grands équipementiers en running, nous explique même que 54 % des européens affirment que c’est « pour garder la forme » qu’ils courent au début. De plus, c’est ce qui les pousse dans 63 % des cas à continuer. Est ce que les « runneuzes » africaines, asiatiques, océaniennes ou sud américaines ont la même vision ? Je dois le découvrir !